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L’Églantine, 1ère MAPA de France (Maisons d’Accueil pour Personnes Agées) constituait depuis sa création en 1984 « un lieu de vie où l’on soigne et non un lieu de soin où l’on vit ». Repris en gestion par le Groupe ACPPA en janvier 2014 et afin de répondre aux besoins et aux normes de confort comme de sécurité actuels, l’établissement vient de faire reconstruire à Fontaine (38) son nouvel écrin. D’une capacité d’accueil de 84 lits dont 2 unités protégées pour dépendants psychiques (28 lits), 1 unité pour dépendants physiques lourds (14 lits) et 1 Pôle d’Activités et de Soins Adaptés (14 places), cette construction neuve est notamment conforme RT 2005 diminué de 50 % (équivalent BBC) et certifiée Habitat et Environnement.
La chaufferie gaz des nouveaux bâtiments de l’EHPAD L’Eglantine se compose de 2 chaudières De Dietrich développant une puissance totale de 316 kW. Quant au préchauffage de l’eau chaude sanitaire, il est assuré par 18 capteurs solaires De Dietrich et un préparateur
de 2.000 litres raccordé au réseau primaire.
Pour Pascal Vaultier, Directeur Général de la SAS Dumolard, entreprise sélectionnée pour réalisation de la nouvelle chaufferie de l’EHPAD L’Églantine, " Cette installation neuve s’est accompagnée d’un traitement Sentinel des circuits, recommandé par notre négociant Richardson. En effet, avec cette boucle multi-matériaux, nous devions traiter le système afin d’assurer à la chaufferie des conditions d’exploitation optimales, pérennes et économes, garantes d’un confort total pour des années. "
En effet, le Système Sentinel dont le crédo « Nettoyer, Protéger, Préserver » est synonyme de solutions nettoyantes faciles à mettre en oeuvre : en améliorant le rendement des installations et réduisant considérablement la consommation d’énergies, les solutions Sentinel, agréées par le Ministère de la Santé, contribuent d’une part à préserver la durée de vie des différents composants (chaudières, émetteurs, vannes...) mais aussi à limiter les émissions de CO2 tout en supprimant les phénomènes d’embouage (corrosion ou calcaire), à la source d’inconfort et de coûts de maintenance...
Une étude indépendante menée par Gastec @ CRE, l’embouage dû à l’accumulation de boues dans une installation de chauffage peut réduire jusqu’à 3 % l’efficacité d’une chaudière, suffisamment pour faire passer une chaudière de classe A en classe B. Notons enfin que le maintien en classe A représente une économie d’énergie de l’ordre de 174 € par an pour l’usager!
